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il y a 4 ans
Quand une femme découvre que son mari est ABDL, elle peut divorcer ou devenir une nounou dominatrice
Voila, je suis sans emploi et cela me convient bien. Ma femme est docteur et son salaire est amplement suffisant pour notre ménage. Surfant régulièrement sur Internet, j’ai découvert le site Abkingdom qui relate d’adultes aimant porter des couches. (Je ne suis donc plus seul ?). Après avoir lu maints récits et chatté plusieurs fois, je me suis décidé à acheter des couches pour voir quel effet ça fait. J’en ai porté de nombreuses fois en l’absence de ma femme. Un jour, ce qui devait arriver arriva. Elle était censée partir passer le week-end chez sa mère, aussi dés que j’ai vu la voiture s’éloigner, je me suis empressé d’aller chercher une couche cachée dans mon atelier et quelle ne fut pas la surprise de trouver un billet scotché sur le sac contenant mes couches.
-« mon petit bébé, j’ai découvert ton petit secret et veux bien le partager avec toi. En bas de ton étagère, dans l’autre sac que tu as essayé de me cacher, tu trouveras ce que je veux que tu mettes. Je ne suis en fait pas partie chez ma mère mais chez une copine et vais revenir bientôt et je veux en rentrant te trouver en couche avec les accessoires contenus dans l’autre sac attaché solidement sur ton fauteuil de bureau que j’ai déjà équipé. Soit tu obéis et tu mets tout ce qu’il contient, soit je ne veux plus entendre parler de ta petite manie. Je ne vais pas tarder à revenir alors dépêches toi. Bisous, je t’aime ».
Il me fallait réfléchir très vite, et mon choix fut vite fait. J’ouvris donc le sac des accessoires et y trouvai une grenouillère rose, une culotte plastique avec une chaînette et un cadenas, un plug, du gel lubrifiant et une tétine avec une sangle pour l’attacher derrière la tête. Je ne connaissais aucun de ces accessoires et le plug était bien plus gros que celui dont mon anus avait maintenant l’habitude. Je décidai de commencer par lui. Après l’avoir copieusement enduit de gel, je le f o r ç a i dans mon anus en me maudissant d’être aussi pervers, bon dieu que ça fait mal. Enfin, après une bonne suée, il était en place. Je pris une couche dans le paquet, elle était plus épaisse que d’habitude. Je découvris à l’intérieur pas moins de quatre couches traversables rectangulaires.
Tant pis, il fallait que je joue le jeu. J’enfilais donc cette très épaisse protection puis la culotte plastique que je cadenassai, et enfin la grenouillère puis la tétine. Je me sentais vraiment ridicule, et c’est dans cet accoutrement que je me dirigeai vers le bureau. Mon fauteuil était équipé de menottes métalliques attachées aux bras et aux pieds du fauteuil. Sur la télé, un autre mot :
-« avant de t’attacher sur ta chaise, lances le film dans le lecteur de DVD et règles le pour qu’il passe en boucle. A toute à l’heure. »
Ce que je fis. Mais ce que je n’avais pas prévu, c’est qu’elle serait aussi longue à rentrer à la maison, j’avais mal au sexe à f o r c e de bander en regardant le film porno sans pouvoir me soulager et la tétine me paraissait maintenant bien plus grosse que lorsque je l’ai mise, en fait elle me bâillonnait complètement et je ne pouvais respirer que par le nez. Lorsqu’elle arriva enfin, après plusieurs heures de torture, elle rigola de me voire ainsi.
« Mais tu es toute mignonne, attends petite fille, je vais te prendre en photo. »
Et elle le fit malgré mes protestations étouffées par mon bâillon.
« Tu as soif, peut-être, et tu veux manger ? (J’acquiesçai de la tête), attends maman va te préparer un bon bibi »
Quand elle revint de la cuisine, elle retira ma tétine et me fit téter le biberon tiède (de grande taille) rempli de lait maternisé et de farine pour bébé.
-« Voila, maintenant tu vas faire ton rototo, allez ! » et elle me tapota le dos jusqu’à ce que je fasse un rot.
Elle me remit ma tétine et tâta ma couche.
« mais c’est que tu as fait de gros pipis, heureusement que tu es bien garnie, sinon tu aurais des fuites. Enfin, vu le nombre de couches, je n’aurai pas à te changer avant ce soir. Tu sais rien que de t’imaginer attaché dans cette tenue et excité par cette vidéo, j’en suis toute excitée et ma culotte est trempée, tu veux voir ? »
Elle plaqua le fond de sa culotte sur mon nez en l’enfilant sur ma tête. Son odeur intime m’a toujours rendu fou, alors être obligé de respirer ses odeurs intimes plus l’excitation du film porno et de la situation dans laquelle je me trouvais était une véritable t o r t u r e. Pour couronner le tout, elle ajouta à mon tourment.
-« tu m’as souvent demandée de me masturber avec des godes que tu m’as achetée. Par pudeur j’ai toujours refusé. Mais aujourd’hui, je suis trop excitée et ai décidé de te faire plaisir. Maintenant tu es mon bébé, et comme je ne veux pas être accusée de p é d o p h i l i e, tu n’es plus prêt de connaître les joies du sexe. »
Sur ce, elle s’est absentée un moment pour aller chercher un des godes puis est revenue s’installer sur mes genoux pour se donner du plaisir, en ne se privant pas de me faire ressentir son bonheur par ses gémissements puis ses cris de jouissance. Assise sur mes genoux, j’ai ressenti les spasmes de son plaisir puis de sa jouissance. Mon sexe tendu à l’extrême me faisait souffrir. Elle enleva la culotte de mon visage et mit le gode devant mes yeux.
-« Tu vois comme tu m’as excitée, c’est le jus de ta maman/Maîtresse. Maintenant je vais retirer ta tétine et tu vas le nettoyer ».
En effet, elle retira ma tétine et la remplaça par son nouveau jouet que, je dois l’avouer, je suçai avidement avec plaisir.
-« Bon, maintenant, je crois qu’il faut qu’on discute » me dit-elle. « tu aimes que je te traite comme un bébé et un soumis ? ».
-« Oui, j’aime ça, mais je t’en prie libère moi, je suis trop excité, ça fait trop mal ! j’ai très envie de toi, laisse moi te faire l’amour ».
-« L’amour, dis tu ? Quand tu me « fais l’amour », tu me laisses rarement prendre tout le plaisir que je mérite, bien trop préoccupé par le tien. Si tu acceptes, tu seras mon bébé et je te laisserais jouir, mais si tu refuses, je te retire ta couche et tu pourras me faire l’amour, mais ça ne sera plus la peine de penser aux couches et au fait de devenir mon soumis comme tu me l’as souvent suggéré. Je te laisse réfléchir. Je vais faire un tour. Penses bien à ton avenir, à toute à l’heure ».
-« S’il te plait, laisses moi aller aux toilettes, j’ai très envie de pisser ».
-« Quand on est une petite fille, on ne dit pas pisser, c’est vulgaire, on dit faire pipi ».
-« S’il te plait, laisses moi aller aux toilettes, j’ai très envie de faire pipi ».
-« Voila qui est mieux. Mais tu as une couche pour ça, maintenant je te laisse réfléchir ».
Elle me remit ma tétine et quitta la pièce.
-Pendant ces quelques heures d’absence, j’ai eu tout le temps de peser le pour et le contre. Si je décidai de cesser le jeu, c’était définitif. J’optai donc pour être son bébé ce week-end, me disant que nous n’aurions ces petits jeux que de temps en temps. Quand elle revint, ma décision était donc prise.
-« Je suis sûre que tu as pris la bonne décision » me dit-elle en retirant ma tétine. « Alors qu’en penses tu ? » me demanda t-elle en massant le devant de ma couche.
-« Je veux bien être ton bébé » !
-« C’est bien ce que je pensais, en constatant l’état de ta couche pleine de pipi, je n’avais aucun doute ».
-« Mais il y a des heures, je t’ai dit avoir très envie de pisser… Pardon, de faire pipi. Et je n’ai pas pu me retenir bien longtemps ».
-« N’aies pas honte, après tout tu n’es qu’une petite fille. Comme tu le sais, j’ai toujours rêvé d’avoir une fille, mon vœu est exaucé. Bon, il est vrai que tu es un peu grande, mais nous allons nous en accommoder. Bon, maintenant, je pense qu’il est l’heure de retirer cette couche pleine de gros pissoux ».
Elle délia mes pieds puis mes mains auxquelles elle mit d’épaisses moufles roses cadenassées aux poignets. « C’est pour éviter que tu ne fasses des bêtises ». Elle m’emmena, me retira ma grenouillère et m’allongea sur la table de la salle à manger sur laquelle était étalé tout le matériel nécessaire à mon change. Elle amena mes mains à la tête de la table et les cadenassa à une chaîne. Quand elle retira ma couche, elle pût s’apercevoir que le jeu me plaisait énormément. Comme si de rien n’était, elle retira douloureusement mon plug qui avait pris sa place et nettoya mon entre jambes au gant de toilette puis à la lingette. « Tu es bien précoce, à ton age, avoir tous ces poils. Attends, on va arranger ça » ! Elle disparut dans la salle de bains et revint avec des ciseaux et son appareil à épiler à la cire chaude qu’elle brancha immédiatement. Elle coupa mes poils aux ciseaux puis entreprit d’épiler mon sexe à la cire.
-« Aïe, ça fait mal, arrêtes, je t’en supplie » !
-« Je ne veux pas que tu aies de poils à ton age. Tu imagines, si la pédiatre te voit comme ça, elle va t’envoyer comme animal de cirque… Voilà, pour le devant, c’est fait, maintenant, retournes toi que je fasse aussi l’arrière ».
-Docilement je m’exécutai. Elle m’épila ainsi tout le corps ne laissant que mes cheveux et mes sourcils qu’elle affina toutefois.
-« Comme tu es belle. Mais je vois que ton petit clito est tout dur. Tu n’as pas honte ? attends, on va remédier à ça ». Elle se baissa et ramassa un grand carton duquel elle sortit une ceinture de chasteté .
-« Tu ne vas pas me mettre ça, quand même » ?
-« Mais si, ma petite chérie, tu te souviens, nous avons pris nous-même tes mensurations, tu voulais que je te maintienne sous ceinture. Au début, j’ai refusé, mais comme tu ne le sais peut être pas, moi aussi je surfe sur Internet, et j’ai visité tes sites préférés, comment ? en affichant l’historique de tes connections. J’avoue avoir au début été choquée, mais en lisant les témoignages, j’ai su que je te maintiendrais sous ceinture tellement ces textes m’ont excitée ».
-
Bon, d’accord, mais si tu veux me la mettre, il va falloir d’abord que tu me fasses jouir, car vu mon érection, tu ne pourras pas.
-
J’avoue que c’est bien essayé, mais je te l’ai dit, je surfe et il y a un autre moyen très efficace, tu vas voir ». Elle alla à la cuisine et revint avec ce que je craignais, un sac de glaçons qu’elle entoura autour de mon sexe et de mes testicules qui ne tardèrent pas à avoir des dimensions ridicules.
-
Tu vois, maintenant ça va aller tout seul. Au fait, j’ai pris la liberté de réduire les dimensions du tube pour ton petit clito. Pourquoi ? Mais pour t’empêcher d’avoir ne serait-ce qu’un tout petit début d’érection. Il est en effet plus petit que ton sexe, mais ne t’inquiète pas il sera comprimé juste assez pour ne pas être blessé.
-Elle passa la ceinture autour de mes hanches et entre mes jambes, enfila mon sexe gelé qui, même avec de l’huile pour bébé, rentra difficilement dans le tube et enfin verrouilla la ceinture à l’aide du cadenas fourni.
-
Voila, c’est fait. Je dois te dire que ce n’est pas la peine de me demander de te l’enlever durant ce week-end, la clé est dans le coffre à la clinique, et même si je le voulais, je ne pourrais pas l’avoir avant lundi.
-
Mais tu as dit que tu me laisserais jouir si j’acceptais ta proposition !
-
C’est vrai que je te l’ai dit, mais je ne t’ai pas dit quand. Allez, petite fille, maintenant on va remettre sa coucouche.
Ce qu’elle fit. Elle me remit ensuite la culotte plastique cadenassée et ma grenouillère rose puis la tétine et un bonnet rose à franges.
- Maintenant, regardes les beaux joujous que maman t’a apportée. Tu vas jouer sagement pendant que maman va te préparer ton biberon. Il est déjà 18 heures et il faut mettre les petites filles au dodo de bonne heure.
Elle me fit asseoir sur la moquette du salon et me donna des poupons. Dix minutes après, elle revint avec un gros biberon, me retira la tétine et me fit prendre la tétée.
« Allez, un rototo et au dodo » et encore une fois, elle tapota mon dos jusqu’à ce que je fasse un rot. Elle m’emmena ensuite dans la chambre d’amis et je n’en crus pas mes yeux. Les tapisseries représentaient des petits ours sur un fond rose, moquette rose, et mobilier blanc. Dans le coin trônait un lit de bébé à la taille d’un adulte muni d’attaches au ventre, à la tête et aux pieds à côté duquel était se trouvait une chaise haute.
- Regardes, tu te rappelles, tu me demandais pourquoi la chambre d’amis était fermée à clé, je t’ai répondu que c’était une surprise. Marjo m’a bien aidée, je trouve qu’elle a beaucoup de goût .
Je bégayais : « parce qu’en plus elle est au courant » ?
-
Mais bien sûr, elle est ma meilleure amie et nous n’avons pas de secret l’une pour l’autre. Quand je lui ai raconté pour les couches et les autres accessoires, c’est elle qui a eu l’idée de ce petit scénario, elle est pleine de ressources, non ?
-
Mais enfin, tu es folle ? Que va-t-elle penser ? Tu n’as pas fait ça ?
-
Et si, je l’ai fait. Bon, maintenant il est l’heure de faire un gros dodo, maman a encore du travail.
Abattu, je me laissais guider vers le lit, et n’ai pas réagi quand elle m’y a attaché, incapable de bouger avant de remettre ma tétine.
- Marjo m’a aussi laissé un petit cadeau pour toi, elle t’a fait un doudou. Elle a porté la même culotte pendant trois jours. Elle a eu beaucoup de mal à ne pas se laver la chatte, mais elle tenait beaucoup à te faire ce petit cadeau personnalisé. Et comme je te l’avais dit au début de notre relation, j’ai eu une aventure avec elle, et quand je lui ai raconté mes découvertes à ton sujet, nous étions tellement excitées que nous avons remis ça. Et cette culotte contient les traces de nos ébats car nous nous sommes essuyées avec après avoir fait l’amour. Bon, je te laisse maintenant faire un gros dodo, elle ne va pas tarder à arriver. Bonne nuit ma petite sophinette.
Elle me fit un bisou sur le front, posa la culotte odorante sur mon nez et éteignit la lumière et ferma la porte me laissant seul dans le noir à mes réflexions. Cette journée très éprouvante a eu raison de mon obstination à rester éveillé. C’est durant un profond sommeil que j’ai senti qu’on retirait ma tétine. « C’est l’heure de ton biberon, ma petite chérie » mais ce n’était pas la voix de ma femme. Je reconnus celle de Marjo. Quelle honte ! « Une petite fille doit avoir son biberon toutes les quatre heures, nous allons nous relayer pour que tu n’aies pas faim, ne t’inquiètes pas ».
Maintenant complètement réveillé, je vis Marjo, nue, à côté d’elle se tenait ma femme, nue elle aussi. C’est Marjo qui me donna le biberon avant de remettre ma tétine et mon « doudou ». je vis ma femme s’approcher de mon lit et me faire un bisou sur le front avant qu’elles ne quittent la pièce. Je les entendis parler dans la chambre conjugale mitoyenne à la mienne. Les mots ont été remplacés ensuite par des bruits qui ne laissaient aucun doute sur leurs activités. J’étais très excité et la compression de mon sexe par la ceinture était horrible, effectivement je n’avais aucune possibilité de début d’érection sans d’affreuses douleurs. Et ce n’est que longtemps après qu’elles ne se soient endormies que moi-même ai trouvé le sommeil…
J’ai encore eu droit à un biberon au cours de la nuit donné par Marjo alors que ma femme dormait. « Et bien, petite fille, je vois qu’on a fait des gros pipis » dit-elle en tâtant ma couche. Et ressortit de la chambre après avoir bien sur remis ma tétine. Le matin venu, ce fut Laura qui me donna le biberon avant de me dire qu’il n’est que sept heures et que je vais encore faire un gros dodo jusqu’à neuf heures. Pendant ce laps de temps, je n’arrivais plus à fermer l’œil et c’est avec soulagement que je les vis entrer dans la chambre. Marjo me détacha et m’emmena à la salle de bains où elle me retira ma grenouillère, la culotte plastique et enfin la couche trempée. Elle m’enleva aussi les moufles puis m’installa dans une baignoire d’eau tiède pour me faire ma toilette avec du savon spécial bébé. Ma ceinture étant toujours verrouillée, elle prit une grosse poire à lavements et injecta du savon par le trou prévu à cet effet. « Te voila toute propre». Avant de me mettre une couche propre, elle me mit deux suppositoires et m’emmena au salon ou elle m’installa avec les poupons.
« Maintenant tes deux mamans vont prendre leur petit déjeuner, sois sage ». L’effet des suppositoires ne tarda pas à se faire ressentir, mes intestins se tordaient et j’avais du mal à me retenir. Laura m’appela en s’installant sur le canapé « viens faire voir à Marjo comme tu sais te servir de ta langue ». Elle retira ma tétine et je me dirigeai vers son sexe. « Non, tu t’occuperas de moi après. C’est à maman Marjo que tu vas faire plaisir ». Son sexe sentait et avait le goût du plaisir pris récemment. Je demandais à ce que ma ceinture soir retirée. « Ma petite chérie, je t’ai dit que je n’ai pas la clé et de toute façon, aucun rapport sexuel pour toi, car je te le rappelle, tu es une petite fille, et un bébé ne doit pas subir d’attouchements sexuels . Mais rassures toi, tu m’as demandé de devenir mon esclave et je ne te considérerai pas à 100% comme un bébé, de temps en temps tu seras notre petite servante bébé, ça te va comme arrangement » ?
-« Mais, ça va pas, non ? Tu crois peut-être que je vais rester en couche et sous ceinture de chasteté en permanence ? En plus tu me trompes avec cette salope et tu crois que je ne vais rien dire » ?
-Laura me mit une gifle magistrale « tu as osé traiter ta deuxième maman de salope ? et, bien, oui, tu seras en couche et sous ceinture en permanence. Tu devras nous obéir en tous points à toutes les deux. C’est comme ça et pas autrement. Et si jamais tu n’es pas d’accord, tu te rappelles des photos que j’ai prises ? Je les copierai et les enverrai à tes copains et à ta famille. Bon, maintenant tu vas t’excuser auprès de ta maman que tu appelleras désormais en toutes occasions maman Marjorie. Quant à moi, ce sera maman Laura. C’est bien compris » ?
-« Oui » !
-une autre gifle « comment, je n’ai pas entendu » ?
-« oui, maman Laura. Pardon maman Marjorie, excuse moi de t’avoir insultée ».
-Marjorie dit : « ça va pour cette fois, mais des mots si vulgaires dans la bouche d’une petite fille méritent une punition » et elle m’emmena à la cuisine pour me laver la bouche au savon de Marseille (dieu que c’est horrible). « Bon, maintenant tu étais censée me montrer tes talents de lécheuse, non » ?
-« Oui, maman Marjorie »
-Après un long moment à faire jouir Marjo, sans délai, elle me dit : « c’est au tour de maman Laura » et s’adressant à Laura : « c’est vrai qu’elle est douée la petite. Il faudra quand même qu’on lui donne des cours pour la perfectionner » !
C’est ainsi que démarra ma nouvelle vie.
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